Onibi

Carnets du Japon invisible
(8 avis client)

13.90 

Auteurs : Cécile Brun & Olivier Pichard (Atelier Sento)

Cachés au bord d’un sentier de campagne ou à l’ombre d’un temple, les esprits japonais, renards, tanuki et autres yokai guettent le voyageur égaré dans l’espoir de lui jouer des tours. Cécile et Olivier, fraîchement installés en bordure de la mer du Japon à Niigata, achètent un vieil appareil un peu spécial censé imprimer ces esprits sur la pellicule. Dans leur quête pour les prendre en photo, ils dressent le portrait d’un Japon en équilibre entre deux mondes.

Malgré la modernisation du pays, les Japonais prennent encore souvent les histoires de fantômes très au sérieux. Les histoires de yokai et autres esprits restent très présentes et ancrées dans le folklore populaire.

Trophée d’argent au Prix international du manga 2018 (Japon)
Sélection Prix “Première Bulle” 2017 (Festival Angers BD)
Sélection Prix “Bull’Gomme” 2018 (Bibliothèque départementale de la Mayenne)


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Disponible aussi en version japonaise !

Editions Shodensha  祥伝社
Titre japonais : 鬼火 フランス人ふたり組の日本妖怪紀行
Onibi version japonaise
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Indisponible sur notre site

Catégorie :

 

128 pages
Format : 17 x 22,5 cm
Couverture : Souple à rabats, pelliculage mat + vernis UVF
Papier : Amber graphic 130g
Dos collé, Reliure cousue

ISBN : 979-1-0953971-0-6

 

 

BD Onibi Carnets du Japon invisible - extrait

BD Onibi Carnets du Japon invisible - extrait

BD Onibi Carnets du Japon invisible - extrait

BD Onibi Carnets du Japon invisible - extrait

BD Onibi Carnets du Japon invisible - extrait

BD Onibi Carnets du Japon invisible - couverture

BD Onibi Carnets du Japon invisible - 4eme de couverture

Les Auteurs
L’Atelier Sento, duo formé par Cécile Brun et Olivier Pichard, est né de voyages au Japon, de rencontres, de dessins et de photographies ramenés du pays du Soleil Levant. Ils aiment faire découvrir un Japon inhabituel, composé de villages perdus dans les montagnes, de fêtes populaires et d’esprits oubliés.

Onibi – a été récompensé par le trophée d’argent du Japan International Manga Award.

8 avis pour Onibi

  1. Alessandro Perna

    De la poésie. Je l’avais offert à une amie qui est de la région de Niigata elle a apprécié (^_^)
    La maison d’édition Isseki ni cho est top pour éditer de petites perles pour partager leur passion du Japon.

  2. Paul Chauvin

    Cette bande dessiné, de bonne qualité, est un moyen de voir le Japon des yeux de rêveurs.
    Les dessins assez doux et bon enfant permettent une immersion totale dans l’univers du folklore Japonais. De plus, le livre possède un bon rapport qualité/prix tant le papier est de bonne qualité et le contenu suffisamment conséquent.
    Un must have.

  3. Yves A.

    L’histoire est un brin légère mais heureusement rattrapée par un dessin nostalgique.
    J’ai eu l’impression de regarder des épisodes de Xfiles avec une intrigue qui ne déroule jamais 🙂

  4. Starbuck

    J’ai été un peu déroutée par les dessins au début mais on se laisse vite prendre par le récit. Une plongée dans le folklore japonais avec toute sa poésie et ses mystères. Pour les amoureux du Japon et de sa culture.

  5. Maryline Bellec

    Onibi c’est un concentré de poésie, une douceur dans les dessins et pour ceux qui aiment le Japon Ils seront ravis de découvrir Niigata dans ce très bel album.
    Je recommande !

  6. SimSays

    Onibi est unique dans le paysage de la bd française. C’est un livre étonnant car, chose assez rare, il met en scène les auteurs eux-mêmes, et il a été créé avec très peu de moyens : crayon de papier et aquarelle. Et à côté de ça on a un tout petit éditeur français géré par seulement 2 personnes. C’est peu, on aurait pu craindre pour la qualité, mais j’y reviendrai plus bas. Dans ces conditions, c’est presque une BD indépendante, mais c’est surtout un livre de collection ou un cadeau de luxe tellement il est beau. Le livre nous plonge dans un Japon mystérieux et détaillé, inspiré par les vrais voyages des auteurs au pays des yokais. Ces derniers sont un peu l’équivalent de nos fantômes, des esprits japonais souvent malicieux et amusants, qui font le charme des légendes locales.

    Je ne vais pas trop m’attarder sur le scénario et les personnages : donner un avis est assez subjectif, chacun se fera son idée, et j’ai d’ailleurs édité mon commentaire précédent qui était un peu trop sévère. Avec le recul, près d’un an après sa sortie (déjà !) j’apprécie Onibi différemment, j’y découvre encore des petits secrets cachés, que les auteurs ont sans doute pris plaisir à découvrir lors de leur vrai voyage à Niigata. Je dois bien avouer que pendant ma première lecture, je me suis dit qu’il manquait parfois un peu de rebondissements (c’est pour cela que j’avais retiré une étoile à l’époque, et j’ai décidé de ne pas changer la note pour refléter ce premier avis). En effet, malgré tout le soin apporté à l’univers, et malgré la beauté de ce voyage au Japon, j’aurais aimé qu’il y ait plus de révélations sur les yokais et sur le Japon traditionnel, car c’est un peu ce que j’attendais au début. Mais ce que j’ai compris plus tard c’est qu’il faut souvent lire entre les lignes (ou entre les cases plutôt). Tout est là, on se prend volontiers à la contemplation et à l’ambiance. Et c’est bien 🙂

    Venons-en donc plutôt aux illustrations, car c’est LE point fort du livre. Si vous aimez les mangas, le folklore japonais, les jeux vidéos ou les animes provenant du même pays… ou si vous aimez de façon plus vaste le savoir-faire artistique, l’aquarelle, les dessins à la main bien maîtrisés et les décors détaillés, vous y trouverez largement votre compte. C’est beau, c’est difficile de faire mieux dans ce style, et quand on sait que tout cela est peint à la main, cela justifie amplement l’achat du livre. J’aimerais posséder des planches originales juste pour leur beauté ! Si j’ai émis un petit bémol plus haut sur le scénario, je ne regrette en tout cas absolument pas mon achat et je recommande ce bouquin partout autour de moi depuis que je l’ai reçu. La qualité est au rendez-vous ! Pour moi c’est la BD incontournable de 2016 (mise à jour : et aussi de 2017 et des années à venir, indémodable et intemporel).

    L’éditeur aussi a mis les petits plats dans les grands. Le livre est loin d’être onéreux, compte tenu de sa qualité. Moins de 20 euros pour près de 130 pages superbes, c’est tout à fait honnête (et même pas cher du tout comparé à d’autres éditeurs). Difficile de faire le moindre reproche, la couverture épaisse et cartonnée est à l’épreuve du temps et très bien rendue, les couleurs des planches sont vives et bien choisies, il y a des pages intermédiaires bonus qui apportent des éléments supplémentaires à l’univers… Et cerise sur le gâteau comme vous pouvez le voir sur mes photos ci-jointes, les fantômes de couverture brillent dans le noir ! (effet luciole)

    Magique 🙂

    J’attends avec impatience une suite ou un nouveau livre des mêmes auteurs, en espérant que cela se concrétisera !

  7. Ludovic Lutz

    Que vous soyez amoureux du Japon ou pas, Onibi saura vous transporter et vous faire découvrir le Japon dit “profond”, loin des décors Tokyoite vus et revus. Les superbes dessins, à l’aquarelle, apporte un peu plus de tendresse encore à cet ouvrage et renforce l’ambiance mystérieuse des aventures d’Olivier et Cécile, les deux personnages principaux.

    Je recommande fortement 🙂

  8. Emily Wolf

    J’ai adoré lire cette odyssée fantastique menée au travers du patrimoine nippon et toute son étrangeté !
    Paradoxalement, ce récit sur le surnaturel permet d’offrir une vision très réaliste du Japon. On découvre ce pays sous un jour nouveau, éloigné des préjugés voulant que le high-tech et l’urbain soit ce qui caractérise le plus le pays. Ici, nous découvrons un Japon champêtre, rural, lent, peuplé de personnes âgées accueillantes et loquaces qui accordent une grande importance aux légendes et à l’invisible, notamment parce qu’elles font en quelque sorte partie de ce monde oublié et invisible, éloignées de l’effervescence de la ville et de leurs enfants devenus des « adultes actifs ». Leurs attitudes semblent d’ailleurs souvent se mêler d’étrangeté et de surnaturel tant ils génèrent et s’immergent dans cet “autre monde” que Cécile et Olivier cherchent à découvrir. Par conséquent on peut se dire que nos héros sont justement parvenus à rencontrer des esprits invisibles, parce ce qu’ils sont entré en contact avec ces habitants âgés…
    L’environnement nimbé de mystères se trouve très bien révélé dans le dessin, de par sa colorisation et l’exploitation de paysages verdoyants et folkloriques détaillés qui rendent très bien l’idée que l’on peut se faire du ‘’Japon authentique’’, où le temps semble s’être arrêté.

    Finalement, à défaut de savoir si les créatures surnaturelles existent bel et bien dans notre réalité, l’on sait au moins qu’elles existent avec certitude dans l’esprits des hommes.

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