Un grumpy cat japonais

par aAlex
Cette photo vous dit quelque chose ?

grumpy cat, japan, ishigaki, okinawa

Peut-être l’avez-vous déjà vu sur notre stand lors de salons ou de convention ? ( On en a fait une grande affiche pour décorer notre stand )
Ou dans le livre Neko Land, dont elle est tirée ?
On en a aussi fait des cartes postales que nous distribuons lors de différents éventements et sur notre boutique en ligne.

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Bref, ce chat est une star !
Parfois on regrette même de ne pas l’avoir embarqué avec nous et l’avoir soigné – il avait un gros souci à la mâchoire… – et ramené en France.

Aujourd’hui, j’avais envie de vous présenter un peu les coulisses de cette photo.


Avant d’arriver à celle que j’ai finalement choisie pour le livre Neko Land (ci-dessus), j’ai pris pas mal d’autres photos de ce chat. Les voici.

grumpy cat, japan, ishigaki, okinawa

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Et une dernière photo avant de le quitter : assez craintif, il a décidé de monter sur un capot de voiture pour nous observer à travers le pare-brise…

grumpy cat, japan, ishigaki, okinawa

Si par hasard vous passez à Ishigaki ( Okinawa ) jetez un œil vous le verrez peut-être !
Si c’est le cas, passez lui le bonjour et donnez-nous de ses nouvelles !

;)

> La vue googlestreetview
( au fond de la cour, on voit la voiture sur laquelle était monté le chat ! )

 

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> Et voici la localisation exacte !

Et pour ceux qui voudraient feuilleter un extrait du livre
Neko Land – une vie de chat au Japon c’est par là !

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5 Commentaires

Kaeru 13 octobre 2015 - 11h15

Il y a beaucoup de chats abandonnés au Japon, beaucoup errent dans les cimetières. J’avoue que même si ces photos sont magnifiques, elles me font mal au cœur. Encore un témoignage du comportement contrasté des Japonais : certains trimballent leurs animaux dans des poussettes et les considèrent avec un anthropomorphisme maladif comme leur bébé, d’autres ignorent la souffrance des milliers de bestioles abandonnées.
Bien sûr, il y a aussi des matous dans les cimetières parisiens, mais en général, ils sont vaccinés et stérilisés par des associations. L’état des chats sauvages au Japon est déplorable, comme on le voit bien sur cette photo….

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Delfine 14 octobre 2015 - 10h29

Dans les grandes villes, il y a quand même quelques (petites) associations qui s’occupent de faire stériliser les chats. ( Ils font une petite encoche dans l’oreille de ceux qui ont été stérilisés pour pouvoir les reconnaitre ) Mais malheureusement ils ne peuvent pas s’occuper de l’énorme quantité de matous abandonnés et en mauvaise santé…

Dans tout le Japon, je ne connais qu’une association qui s’apparente à une SPA (recueille des chiens / chats, les propose à l’adoption ) : C’est l’assoc ARK, dans le Kansai.

Et oui, c’est dingue cette ambivalence des japonais avec la nature et les animaux !

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jeremy 13 octobre 2015 - 20h43

Pas de regrets a avoir vous n’auriez pas pu le rapporter en France, une amie japonaise allant tous les ans au japon voir ses parents l’été et revenant en France avait voulu rapporter le chat de ses parents, et ça a été impossible car la douane demandait des tonnes de papiers, et le cout demandé pour les papiers et le transport était pharaonique (de l’ordre de 600 euros).

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Delfine 14 octobre 2015 - 10h22

Hé oui, c’est tellement compliqué (et cher !) « l’immigration » pour les animaux de compagnie !
Ce chat était à Okinawa : même pour l’amener à Tokyo, ce serait mission impossible ( par avion )…
Ça ne m’étonne pas trop la somme de 600 euros pour emmener un chat, dans un sens comme dans l’autre ( France/ Japon, Japon/France ).
:(

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Kaeru 14 octobre 2015 - 10h50

Le Japon est une île, du coup, pour la protections des espèces endémiques et les risques sanitaire, il y a des quarantaine très long. 90 jours il y a des années quand une amies avait voulu ramener sa bestiole. Quand à 600 euros, c’est « raisonnable ». J’ai des potes qui partent à Singapour et vont devoir payer 800 euros. Une autre amie, elle part pour Tahiti et ne pourra pas emmener son chat car le transporteur lui demande… plusieurs MILLIERS d’euros >_<.

Delfine : merci pour l'info sur l'association. En surfant un peu sur le web, je découvre avec horreur des articles qui parle de l'euthanasie pur et simple par le gaz des bestioles abandonnées. Finalement, la solution de l'Aibo a le mérite d'éviter de la souffrance animale… Mais c'est quand même drôlement triste et révélateur de certains dysfonctionnements sociaux.

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